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28 juillet 2012

# 55 Celui qui court derrière l'oiseau, # 56 La Reine du silence #57 Photo-Photo, Marie Nimier

De Marie Nimier je voulais lire Adoptez-un écrivain, mais comme il n'est toujours pas acquis par ma Médiathèque, j'ai lu 3 autres romans d'elle, au hasard des disponibilités!

celui qui court derrière l oiseau

Celui qui court derrière l'oiseau

Le premier tiers de la lecture est agréable: un roman d'amour plutôt bien vu. La suite se transforme en policier/ enquête beaucoup plus brouillon. Dommage!

Elle rit toute seule maintenant, elle veut me raconter quelque chose, enfin n'y tenant plus elle explose:

- Vous devriez aller aux toilettes, ça vous changerait les idées, il y a un graffiti très amusant.

- Ah oui?

Je fais des efforts pour participer à la conversation, cette fille est mon salut , c'est elle qui m'aidera à placer le masque sur mon visage.

-Près du distributeur de papier il y a une inscription: If you want to play toilet tennis, look right, c'est à dire:  si vous  voulez jouer au tennis de toilettes, regardez à droite...

Elle a un drôle d'accent lorsqu'elle parle anglais, je me demande d'où elle le tient.

- Alors, poursuit-elle, je regarde à droite et qu'est-ce que je lis: If you want to play Toilet Tennis, look left! Je tourne la tête vers la gauche et je tombe sur le graffiti de droite, qui me renvoie à celui de gauche et ainsi de suite...

 

la-reine-du-silence

La Reine du silence

Lu en 2eme position, j'ai beaucoup aimé le mélange de pudeur et d'intime, la colère et l'indulgence envers ce père inconnu.

J'ai surtout très séduite par la forme, notamment quand elle nous prend à partie.  Le ton devient alors léger et plein d'humour, offrant une pause agréable entre des paragraphes plus denses et profonds. Un roman qui sonne juste!

photophoto

Photo-Photo

Les points de départ et d'arrivée: une photo. Entre les deux, un trait d'union (elle était facile celle là!) : des micro-évènements, des rencontres, des doutes. On assiste à la gestation d'un livre et la comparaison avec une grossesse m'est apparue comme une évidence. Seulement voilà, comme la grossesse, c'est un peu longuet et ennuyant! On attend, on attend... Certes je reconnais l'exercice littéraire, il y a bien un fil rouge, mais franchement sans réel intérêt pour moi. Je sais que Photo-Photo a reçu un bon accueil de la part de la critique, peut-être ai-je loupé quelquechose?

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Commentaires
Y
Je note! Si je le trouve à la médiathèque je viendrai faire un petit "édit" sur cet article! (car il semble qu il y ait une malédiction sur les livres que tu me conseilles!!! Je ne désespère pas et ma liste s'enrichit à chacun de tes commentaires)
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E
Je ne connais pas ces trois romans, ni d'ailleurs celui que tu visais en premier lieu. <br /> <br /> En revanche, j'ai lu Les inséparables, sur les conseils de ma soeur et de ma mère qui l'avaient adoré (les livres chez nous jouent aux chaises musicales). Je ne serai pas aussi dithyrambiques qu'elles l'ont été avant de me le passer mais je dois admettre que c'est un roman qui m'a touchée.<br /> <br /> Autobiographique, il retrace l'amitié d'une vie entre l'auteur et une ancienne copine de classe qui n'a ni les mêmes origines, ni les mêmes moyens, ni non plus les mêmes ambitions. Au point d'embrasser une vie que beaucoup récrieraient mais que Marie Nimier essaie de comprendre et de soulager.<br /> <br /> Je te le conseille !
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